Au Musée national des Arts et Traditions populaires, Georges Henri Rivière a traité l’exposition des institutions, rites, etc. sur le même mode muséographique que celui des faits techniques, ce qui rend difficile la compréhension de leur sens social et symbolique. L’article présente l’exemple de deux expositions concernant la famille et la parenté pour souligner les défis auxquels s’affronte le mucem qui se propose de traiter, dans une muséographie comparative, des relations masculin/féminin dans l’espace euro-méditerranéen.