En quoi la nourriture servie dans les restaurants universitaires, gérés en tant qu’ « œuvres sociales », donne‑t‑elle de la valeur aux employés qui y travaillent, et aide‑t‑elle à requalifier leur métier, généralement dévalorisé par rapport à l’emploi dans les restaurants urbains ? L’article s’appuie sur les observations de l’auteur qui a travaillé comme caissière dans deux restaurants universitaires parisiens.